Blog Marketing & Conso

Vous trouverez en téléchargement le dossier présenté à l'occasion du Mix Com RMS 2005 sur les Champagnes de Vignerons.

• Dossier PDF, 30 Mo.

NB : pour télécharger le fichier PDF sans qu'il ne s'ouvre dans votre explorateur, faites un clic droit sur le lien, puis "enregistrer la cible sous"

• Présentation PowerPoint fichier .pwt avec flash. Notice : dézipper le fichier, et lancer la présentation dans le même dossier que les fichiers flash.

Fichier zip 5 Mo

La dernière campagne de communication des magasins leclerc reprend l'iconographie de mai 68 pour l'adapter à leur positionnement de lutte des prix. Pour le coup, je trouve que l'impertinence de cette adaptation est d'un goût assez douteux.

D'autant plus que les précédentes campagnes avaient pour objectif de donner toujours plus de poids aux distributeurs. Et quand on connaît la manière dont les distributeurs fonctionnent grâce aux marges arrière, je trouve que c'est vraiment déplacé.

Loin de moi l'idée de sacraliser mai 68. En revanche, contre le mauvais goût et l'hypocrisie, je trouve que ça vaut le coup de réagir.

http://membres.lycos.fr/moiamadeus/newpage7.html

Pour éviter de s'y perdre

http://www.reconnu-saveur.com/

Les produits pour 2005 ont été élus.

C'est marrant, parceque le label a été condamné en 2003 par le TGI de Versailles Le "label" "Reconnu saveur de l’année" ne correspondait en réalité à aucun critère de qualité et il suffisait de payer pour l’obtenir. Le tribunal de Grande Instance de Versailles rappelle l’interdiction de l’usage du terme "label" sur des produits agro-alimentaires qui ne bénéficient pas du Label Rouge. Après confirmation en appel, le jugement est appelé à faire jurisprudence pour tous les faux signes de qualité.

D'autant plus que le label a été accusé de parasitisme commercial et de publicité mensongère ...

Une nouvelle étude TNS Secodip de ce mois de janvier nous confirme que 1 produit sur 5 est acheté de nos jours dans les circuits Hard Discount.

Cà ne me surprend guère. Certes, il y a l'argument du prix, qui est tout de même très fort. Mais il y a surtout une recette infaillible : moins de choix, des produits simples, un marketing extrèmement simplifié. Le consommateur ne s'y trompe pas.

Il doit en avoir marre d'être pris pour une bille. Il fait donc ses choix là où il se trouve le mieux, et là où il est le moins stressés. Et paradoxalement, plus le magasin est dépouillé, moins il sera stressé. C'est ce que prouve l'étude de Barry Schwartz énoncée dans le précédent billet.

J'ai récemment reçu un certain nombre de nouvelles référfences. Je pense que mon mémoire prendra donc un angle plus critique vis-à-vis des techniques marketing. De nos jours, le "bruit marketing" est immense. Le marketing finira par se tuer, à ce rythme. Le document que je vous présente :

L'embarras du choix, Barry Schartz, in Cerveau & Psycho no7 Article sur son livre B. Scwartz, the Paradox of Choice, why more is less, Ecco/Haper Collins, 2004

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